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jeudi 27 septembre 2007
mardi 25 septembre 2007
Company of Heroe
C'est le titre du hit auquel j'accorde mes temps morts dans mon emploi du temps. Un jeu vidéo de stratégie/tactique édité par THQ (auteur des warhammers, de supreme commander...)
Vous prenez la tête des alliées ou de l'axe (dans le mode multijoueur) pour revivre des étapes clés de la seconde guerre mondiale. Le thème est basique, néanmoins ce jeu possède des atouts qui m'ont séduit à tel point que je l'ai acheté (35€ prix recommandé neuf).
Vous prenez la tête des alliées ou de l'axe (dans le mode multijoueur) pour revivre des étapes clés de la seconde guerre mondiale. Le thème est basique, néanmoins ce jeu possède des atouts qui m'ont séduit à tel point que je l'ai acheté (35€ prix recommandé neuf).
- Tous les décors sont entièrement destructibles (comme dans worms), ce qui apporte une grosse partie de tactique puisque le terrain est alors un facteur primordial. Ecraser les murs avec vos chars, vos obus permettent de créer des cratères...
- La couverture de vos unités : chaques éléments du décors vous apportent une protection, élément clé du jeu
- l'IA : vous ne dirigez pas 1 unité, mais 1 section composée en moyenne de 6 gars. Les animations, les interactions sont très bien gérées par l'IA.
- Les graphismes, tout est en 3D, avec la molette vous pouvez zoomer et alors apercevoir la barbe naissante de vos soldats ou encore compter leurs munitions. (très impressionnant).
28 Weeks Later.
Les fameux enragés aux yeux rouges, pas seulement sur les photos, sont de retour.
28 jours plus tard m'avait marqué, par le scénario et surtout la psychologie survivaliste malsaine mais plus réaliste que la majorité des films apocalyptiques où les américains tous solidaires se battent contre un ouragan, un volcan ou un musulman.
Encore une fois grâce à la rentrée du ciné, je me suis précipité sur le deuxième volet.
Toujours sans spoiler sachant que dans ce genre de film, le scénario est souvent digne d'un d&d (porte, monstre, trésor (ex: un militaire sympa incorruptible avec un fusil chargé)) :
On commence avec Londres dévastée suite aux ravages du premier épisode, donc encore une fois une bonne continuité. Enfin pas tout a fait, une intro nous remet bien dans le bain, en nous présentant à quoi ressemble la vie d'un groupe d'égarés au milieu de ce nid de zombies.
Londres est dévastée et les contaminés sont tous morts (de faim ?). Les ricains débarquent pour assainir la ville : comprendre faire les éboueurs allemands, soit un tri selectif entre ce qui est biohazard ou pas. Pendant ce temps, les gros malins accueillent déjà des réfugiés pour "reconstruire" Londres... à mon avis le parlement à du bloquer le budget à Bush.
Enfin, voilà le prologue qui mènera bien sûr à la réapparition du virus.
Raconté comme cela, on pourrait penser que je n'ai pas apprécié, faux. Mais ce second opus est beaucoup moins novateur que le premier et se rapproche beaucoup du modèle américain dans le genre (comprendre : un bidas au grand coeur avec un fusil + un enfant + un noir + une jolie toubib = un navet). On perd donc pas mal l'esprit du premier, et surtout on se rapproche du "tout public", à noter que le film est interdit au moins de 12 ans en salle.
Pour conclure, décevant mais divertissant, des scènes sympatiques, mais ne vaut pas une place de ciné.
J'attends également vos retours.
28 jours plus tard m'avait marqué, par le scénario et surtout la psychologie survivaliste malsaine mais plus réaliste que la majorité des films apocalyptiques où les américains tous solidaires se battent contre un ouragan, un volcan ou un musulman.
Encore une fois grâce à la rentrée du ciné, je me suis précipité sur le deuxième volet.
Toujours sans spoiler sachant que dans ce genre de film, le scénario est souvent digne d'un d&d (porte, monstre, trésor (ex: un militaire sympa incorruptible avec un fusil chargé)) :
On commence avec Londres dévastée suite aux ravages du premier épisode, donc encore une fois une bonne continuité. Enfin pas tout a fait, une intro nous remet bien dans le bain, en nous présentant à quoi ressemble la vie d'un groupe d'égarés au milieu de ce nid de zombies.
Londres est dévastée et les contaminés sont tous morts (de faim ?). Les ricains débarquent pour assainir la ville : comprendre faire les éboueurs allemands, soit un tri selectif entre ce qui est biohazard ou pas. Pendant ce temps, les gros malins accueillent déjà des réfugiés pour "reconstruire" Londres... à mon avis le parlement à du bloquer le budget à Bush.
Enfin, voilà le prologue qui mènera bien sûr à la réapparition du virus.
Raconté comme cela, on pourrait penser que je n'ai pas apprécié, faux. Mais ce second opus est beaucoup moins novateur que le premier et se rapproche beaucoup du modèle américain dans le genre (comprendre : un bidas au grand coeur avec un fusil + un enfant + un noir + une jolie toubib = un navet). On perd donc pas mal l'esprit du premier, et surtout on se rapproche du "tout public", à noter que le film est interdit au moins de 12 ans en salle.
Pour conclure, décevant mais divertissant, des scènes sympatiques, mais ne vaut pas une place de ciné.
J'attends également vos retours.
Ultimate Bourne
Dernier opus de la saga, la rentrée du ciné permettait de le visionner avec un compère pour pas cher.
En bref et sans spoiler, le film reprend le second opus là où on l'avait malheureusement laisser. C'est à dire que le début se déroule donc à Moscou et que notre cher Bourne à l'instar du fugitif, se retrouve comme d'hab en cavale...
Première impression à la sortie de la salle : c'est court paradoxalement à la durée du film qui doit tourner autour des 2h, donc plus long par rapport aux précédents épisodes.
Tout est très rapide, très condensé... Le montage est excellent et les plans toujours atypiques, griffe de la saga. Pas une seconde de repos donc, juste au générique où l'on souffle enfin.
Pour le scénario, pas de surprise : Bourne cherche son passé.
Avis personnel, le dernier opus n'est vraiment pas décevant, au contraire impressionnant, meilleurs que le second épisode passé dimanche dernier sur TF1.
J'attends vos retours.
En bref et sans spoiler, le film reprend le second opus là où on l'avait malheureusement laisser. C'est à dire que le début se déroule donc à Moscou et que notre cher Bourne à l'instar du fugitif, se retrouve comme d'hab en cavale...
Première impression à la sortie de la salle : c'est court paradoxalement à la durée du film qui doit tourner autour des 2h, donc plus long par rapport aux précédents épisodes.
Tout est très rapide, très condensé... Le montage est excellent et les plans toujours atypiques, griffe de la saga. Pas une seconde de repos donc, juste au générique où l'on souffle enfin.
Pour le scénario, pas de surprise : Bourne cherche son passé.
Avis personnel, le dernier opus n'est vraiment pas décevant, au contraire impressionnant, meilleurs que le second épisode passé dimanche dernier sur TF1.
J'attends vos retours.
Il était une fois...
des très grands ou des très gros, parfois des très chiants ou encore des très typés, aussi des très clichés, également des très lents, des déchirés, des excités et surtout des passionnés... Qui, aujourd'hui ne se voient plus très souvent.
Voilà, pour eux, un petit espace hors du temps.
Voilà, pour eux, un petit espace hors du temps.
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